Bonjour, je dois faire écrire la suite du texte des Misérables, la suite de l'histoire de la pièce, quand Jean Valjean garde la pièce de petit Gervais.. je dois montrer, en s'appuyant sur la situation mise en place, comment Jean Valjean, pris de remords, se met à la recherche de l'enfant afin de lui rendre la pièce. voilà ce que j'ai fait mais je trouve que c'est pas génial ! pouvez vous m'aider afin d'améliorer mon travail ? Merci d'avance Après une nuit de méditation, le jour se levait et Jean Valjean couché sur la plaine déserte , continuait à observer l'horizon qui se dessinait petit à petit. Il contemplait les Alpes en pensant à l'affaire de la veille. Il avait compris qu'il était devenu mauvais. Cette histoire de pièce lui avait peut-être permis d'affronter le combat du Bien et du Mal. Que dois-je faire à présent ? murmura-t-il entre ses dents tout en fixant les Alpes dressées devant lui. Il repensa à sa réaction instinctive face à cette pièce de quarante sous. Pourquoi avait-t-il posé son pied sur cette pièce ? Pauvre Petit Gervais ! Cette pièce représentait toute sa fortune ! Jean Valjean était si attristé et peiné d'avoir fait pleurer un enfant innocent! Jean Valjean revoyait ses cheveux d'or, sa vielle et sa boite à marmotte sur le dos. Il se demandait comment il avait pu réagir de cette manière face à ce doux garçon. Après quelques minutes de réflexion et de remords constants, Jean Valjean se leva, récupéra son bâton et serra,dans sa main, la pièce qui brillait, éclairée par le lever du soleil. Il la fixa encore une fois et s'élança en essayant de rattraper les pas de l'enfant sur le sentier boueux. Au bout de quelques heures, il vit le haut d'un clocher d'une l'église et arriva à l'entrée d'un village. Jean Valjean était affamé. En effet, il n'avait plus manger depuis quelques jours. Il rencontra alors des passants dont une vielle dame. Il la pria de lui donner des restes de pain. Celle-ci lui en donna gracieusement. Jean Valjean la remercia grandement en repensant à sa condamnation. Il en profita alors pour demander à cette brave dame si elle avait aperçu un enfant dans le village. -Madame, dit Jean Valjean, connaissez-vous un jeune homme nommé Petit Gervais ? -Comment s'appelle-t-il ? Demanda la dame en fronçant les sourcils. -Petit Gervais, Madame. -Comment est-il ? Demanda-t-elle -C'est un petit homme d'une dizaine d'années, blond et vif. -Un jeune homme est arrivé hier dans la soirée en pleurant. Ma fille l'a recueilli chez elle car il était dans un état déplorable , expliqua la dame. Je ne connais ni son nom si son âge mais il me semble votre description conviendrait à celle du garçon venu hier. Jean Valjean frissonna, fut poussé d'un élan d'espoir. -Que lui voulez-vous à ce petit ? Questionna la dame -Je suis son oncle, déclara Jean Valjean, gêné. -Très bien, dit la vieille dame. Venez avec moi, ma fille habite à quelques pas d'ici. Jean Valjean suivit la dame, plein d'espoir. Son regard alternait entre la pièce et les maisons au loin. Quand ils arrivèrent, la dame expliqua la situation à sa fille et lorsque le jeune garçonnet arriva jusqu'au pas de la porte. Il pâlit, frissonna et reconnut l'homme qui lui avait volé sa pièce. Jean Valjean pâlit aussi, essaya de prononcer quelques paroles mais bégaya continuellement. La fille finit par dire à Petit Gervais que son oncle voulait lui parler. Petit Gervais, brave, accepta. L'enfant et le vieillard s'éloignèrent. L'atmosphère était pesante, le silence régnait. Jean Valjean déclara soudain : -J'ai ta pièce de quarante sous L'enfant, fâché ne répondait pas. Alors Jean Valjean continua : -Mon attitude a été très mauvaise l'autre jour, c'est vrai, je le reconnais. C'est pourquoi, après avoir réfléchi longuement à mes actes, j'ai décidé de partir à ta recherche afin de rendre ta pièce , qui je le sais, représente toutes tes économies. Veux tu accepter mes excuses ? L'enfant rougit, prit la pièce que lui donnait l'homme et baissa la tête. Il ne parlait pas, se sentait impuissant face à Jean Valjean qui avait été violent. Ils échangèrent quelques regards. Le visage de Petit Gervais s'illumina, l'enfant admirait sa pièce et souriait. Il déclara finalement : -Merci Monsieur d'avoir eu la bravoure de me retrouver afin me rendre ma pièce. J'en suis reconnaissant. Ils se saluèrent, Jean Valjean était lui aussi fier de son geste et pensa alors qu'il pouvait traverser la tentation du Mal ; que tout espoir n'était pas impossible.

Répondre :

Je trouve ça bien. Relis ce que tu as fait plusieurs fois et si pour toi ça va alors pour les autres aussi :)

Baobab

Moi perso je te jure que j'aime bien... C'est bien écrit et simple, c'est agréable à lire... A la fin par contre tu devrais plutôt dire "tout espoir n'était pas PERDU" 

 

Bonne Journée ! 

 

Baobab

D'autres questions